Hevy Pandragon ~ Je sers le mal et alors? {Fini}

Harxannien de Niveau 1. Messages : 10 Date d'inscription : 10/05/2012

Hevy Pandragon.

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♠ Nom : Pandragon.
♣ Prénom : Hevy.
♥ Âge : Elle a l'apparence d'une jeune fille de 17 ans, mais a en réalité plus de 166 ans.
♦ Race : Démons, bien évidemment!

* * *

» Sorts [ En tant que débutant, vous avez droit à 4 sorts. ] : 1) Multi-Boules d’énergie des Ténèbres: des boules d’énergie simples
sont crées par son utilisateur et infligent des dégâts relativement
faibles
2) Téléportation infernale: L’auteur peut se déplacer dans un nuage de flammes
3) Effroi de l'ombre: le démon devient une ombre et les attaques physiques ne peuvent l'atteindre
4) Aura démoniaque: des ombres viennent attaquer la cible infligeant de faibles dégâts physiques et le ralentissant beaucoup

» Arme : Apolyon. Cette énorme épée, qui fait plus d'un mètre cinquante
porte le nom du chef de des démons de la septième
hiérarchie, c'est le nom de l'ange exterminateur dans l'Apocalypse, souverain
du puits sans fonds. On dit qu'elle a été forgée en enfer, et elle serait donc indestructible. Sa lame fait vingt centimètres de largeur et est décorée d'écriture ancienne.

* * *

» Description Physique : Svelte, lorsqu'elle se déplace, Hevy semble flotter. Les membres fins, parfois elle semble irréelle, pareil à un personnage de papier. Un teint pêche, sûrement le seul attribut qui n'est pas effrayant chez cette jeune fille. De grands yeux en amandes se dessinent sur son visage. Ils sont d'une froideur effroyable, et ne laissent rien transparaître. Pas la moindre émotion ne peuvent se matérialiser sur ses pupilles, hormis la haine et la colère, qu'elle porte en elle, sans cesse, et qui finit par faire d'elle une véritable poupée de glace. Cependant de longs cils viennent les mettre en valeur, et malheureusement, la finesse des traits de la demoiselle ne laissent pas indifférents la gente masculine, qui d'ailleurs par simple précaution devrait passer son chemin rien dire. Ce joli minois de femme fatale, sans l'être est encadré par une ravissante chevelure de soie, aussi noire que l'ébène. Quelques mèches viennent se balader sur son visage, adoucissant de temps à autre ses traits, mais pas son caractère bien évidemment.
Hevy fait donc parti de ses filles à la beauté bien singulière, une beauté qu'on ne saurait réellement décrire. On ne saurait dire où se trouve l'élément de charme qui fait toute la différence. Sur son poignet droit est écrit son nom et son prénom complet. Elle ne sait aucunement d'où viennent ses écritures.

» Description Mentale : Hevy est tout ce qu'il y a de plus froid. Dois-je réellement développer? Oui, évidemment, il y a bien cinq lignes de description à écrire. Tiens, en voilà une complète, rien qu'en déblatérant des sottises. Bon, très bien, j'arrête. Solitaire, Hevy n'aime pas beaucoup la compagnie. Enfin, ce n'est pas vraiment cela, mais avec le temps, elle a apprit à rester seule et a conclu qu'il n'y avait rien de mieux. À quoi bon partager des paroles, échanger des regards avec des individus futiles et égoïstes? En parlant d'égoïsme, Hevy en est l'exemple même, et en est tout à fait fière. Pourquoi s'en vouloir? Pourquoi vouloir se corriger alors que nous vivons dans un monde où chacun pense à sa part du gâteau? Plutôt directe, elle n'aime pas passer par quatre chemin pour exprimer ce qu'elle a à dire, et d'ailleurs ces moments-là sont rares. Plutôt discrète et peu bavarde, elle n'aime pas parler pour rien dire, et déteste les gens qui parlent pour rien dire. À ce stade de la présentation, vous vous demandez s'il va y avoir un " Néanmoins" ou un "Cependant" et bien, Hevy est une vipère égoïste, ambitieuse et cruelle, il n'y a rien à ajouter.

» Histoire : Il neigeait ce mois-ci, sans cesse. Les pas des passants disparaissaient sous un tapis de satin blanc. L'hiver était rude cette année. Tout le nord de la région luttait contre le manque de provisions et d'eau. Cependant, dans les petits villages demeurait la chaleur de l'entraide et de la solidarité. Le troc y était très fréquent, et assurait la survie de chacun. Jusqu'à maintenant, aucun conflit n'était venu ravager nos terres. Mais cela allait bientôt changer.

Je me rendais chez l'épicier, alors que le soleil commençait sa descente, dans un ciel orangé. Abattue par le froid, j'étais malencontreusement tombée malade. Le médecin du village avait été surpris ; cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas recontré une telle grippe, qui normalement touchait la plupart du temps les personnes âgées. Il m'avait donc conseillée de rester au lit, de manger correctement, et de ne surtout pas sortir. Mais évidemment, il m'était impossible de me reposer. Je travaillais et vivais à l'orphelinat. On m'avait trouvée, il y a un an, évanouie près des Montagnes Interdites. Et depuis, je vivais un cauchemar. Chaque matin, j'avais droit à un coup de pied dans les côtes pour réveil. Sublime n'est-ce pas? N'était-ce pas une subtile façon de me réveiller. Avouez que si. J'allais ensuite travailler au village, chercher des fruits, de la viande, et si je n'arrivais pas à en ramener, j'avais droit à un bleu supplémentaire sur le visage. Tout le monde le savait. Tous les villageois baissaient le regard devant les traces de coups que je portais. Et personne ne protestait. Lorsque mon " maître " me frappait à coup de pied, je ne pouvais m'empêcher de sourire. Je souriais car je savais que toute la haine que je contenais en moi, et bien un jour allait se retourner contre eux. Eux tous. Ceux qui me frappaient. Et ceux qui faisaient semblant de ne rien voir. Me venger. C'est tout ce que j'avais en tête. Je n'attendais rien de la vie, et rien du ciel. Une fois, une vieille femme en passant m'a regardée avec pitié, et m'a demandé de prier le ciel. Foutaises. J'ai prié le démon.

Alors un soir de Pleine Lune, alors que mes blessures s'aggravaient et que l'oxygène me manquait, je décidais de passer à l'action. J'étais à l'article de la mort. Après avoir fait le même rêve étrange, où une magnifique épée m'apparaissait, je me levai, alors que tout le village dormait à point fermé. Ce soir, ils allaient connaître la pire des choses qu'il soit : la souffrance de leur proche et une mort lente et affligeante. Je descendis à la cuisine et pris de quoi faire du feu, oui vous avez bien entendu du feu. Je sortais alors, et dehors la brise était légère. D'ailleurs, celle-ci m'aida à animer la braise. Je commença par la petite maison du fermier. Il y avait une énorme quantité de foin qui ferait sans doute l'affaire. Ce vieux fermier à l'oeil vicieux qui m'avait fait des avances contre sa marchandise. Ordure. Sa petite maison de bois fut un magnifique bûcher. Je le vis, essayer de sortir de sa maison, mais j'avais bloqué la porte. Dommage, tu paieras pour ta perversité. Le feu commença alors à brûler les maisons voisines, et je savourais le spectacle. Dehors, les villageois s'agitaient à vouloir éteindre le brasier, tandis que je continuais ma course, faisant en sorte que le feu se propage. Ce soir-là, il y avait une force des plus démoniaque qui m'accompagnait. Et je ne pouvais pas rêver mieux. Que la jeune et fragile Hevy Pandragon aurait réussi un tel exploit? Aujourd'hui, en y rependant, j'en suis encore très fière. Le village s'embrasa alors. Mais il manquait une dernière demeure, l'orphelinat. Je m'y rendais alors d'un pas décidé, la flamme à la main, laissant le meilleur pour la fin. J'entrai dans la chambre à coucher de cet animal de la pire espèce, et lui donnait un grand coup de bois dans les côtes. Sa respiration fut coupée, et il ne tarda pas à ouvrir les yeux dans un instant de panique.

" Tu te souviens " lui dis-je. " C'est comme ça que tu m'as réveillée, pendant la totalité de mon existence. Parce que le reste, je ne m'en rappelle pas, évidemment, il n'y a que ces inscriptions à mon poignet pour me dire qui je suis, et toi qui a voulu les enlever! Ordure... Alors que je souhaitais vivre heureuse tu es venu me chercher dans ses montagnes, tu m'as recueillie et m'a battue, pendant toutes ses années... Et bien ce soir c'est fini. "

Je lui donnai un autre coup de bois, et posais la flamme sur sur le lit. Le lit, fait de foin évidemment, s'embrasa. Je fermais la porte et la bloquai. Cette fois, c'était mon heure de gloire. Je souris, et m'enfuis à l'extérieur. Je me cachais aux bordures du village, regardant le déroulement. Des pleurs, des cris d'effroi. Enfin. Enfin ils goûtaient à ce que j'avais subi. Soudain, je fus prise par une migraine effroyable. J'avais usé mes dernières forces dans cette vengeance. J'allais mourir, à cause de la maladie, mais au moins je mourrais l'esprit tranquille. Mais une chose était certaine ; je n'allais pas m'envoler au Paradis.

Et bien j'avais raison. Lorsque j'ouvris les yeux, je me trouva face à cette épée, entourée de flammes. Elle était exactement comme dans mes rêves. Immense, et dégageant une incroyable énergie. En la prenant, je sentis mon corps devenir plus fort, une incroyable source d'énergie semblait couler dans mes veines. Une voix retentit alors :

" Tu es l'héritière de cette épée. Accomplis ta destinée. Domine Harxan, et amène ton peuple au pouvoir "

À présent, je connaissais mon destin. Je me mis alors en route.

Vous!

Surnom : Haha.
Âge : 17 ans
Présence sur le Forum sur 10 : 7/10
Autre chose à préciser ? : Non.

Harxannien de Niveau 1. Messages : 43 Date d'inscription : 05/02/2012

Bonne continuation miss Pendragon!

Harxannien de Niveau 1. Messages : 10 Date d'inscription : 10/05/2012

Merci, d'ailleurs j'ai terminé.

Bienvenue Hevy! Ça chauffe par ici on dirait 8D *lablaguequ'ilfautpassortir* Et bien, belle fiche! Décidément tout le monde en veut à la reine, ça vous dit pas de venir du côté des gentils on a des cookies!
Bon j'arrête de parler, tu es Validée!

» Miss Tsukihiru FINI
» Miyamoto Yami Fini!